Les 15, 16 et 17 mai, la Sarthe a accueilli la 18ème édition du Grand Prix de France moto. Terre de sports mécaniques, la  fidélité de Claude Michy au circuit Bugatti ne doit rien au hasard et témoigne de l'engagement fort du Département aux côtés du monde sportif en général, et des sports mécaniques en particulier.

Les événements de sports mécaniques d'envergure nationale et internationale sont un atout majeur pour le territoire et son rayonnement. Le Département déploie des investissements constants sur le circuit Bugatti et celui des 24 Heures, via le Syndicat mixte des 24 Heures, pour le confort et la sécurité des pilotes et des spectateurs. Les retombées du Grand Prix de France moto, ainsi que des 24 Heures, se comptent sur les plans économiques, touristiques et de l'emploi.

Près de 10 millions d'euros dans l'économie locale
Hébergement, dépenses locales, restaurations, sécurité, transports, le Grand Prix de France, c'est près de 10 millions d'euros injectés dans l'économie locale.
En termes d’affluence, le Grand Prix de France est la 1ère épreuve française de sports moto et la 2ème  épreuve de sports mécaniques derrière les 24 Heures du Mans Auto.
84 000 spectateurs en moyenne depuis 2010, soit 100 000 personnes en prenant en compte les compétiteurs, organisateurs, personnels divers et bénévoles, se pressent sur le circuit.
En 21 ans, le Grand Prix de France est passé en termes de fréquentation de la 14ème place (sur 16 GP en 1994) à la 5ème (sur 18 GP en 2014).
Rayonnement médiatique international : 207 pays reçoivent les images en direct, avec un total de 291 millions de foyers suivant les Grand Prix via le câble ou le satellite et 460 médias par Grand Prix.

Les retombées économiques annuelles du Circuit des 24 Heures du Mans sont de l’ordre du double des retombées annuelles du club de football français le plus « médiatique ».
Au rythme actuel de ses retombées économiques, tout se passe comme si le bassin économique du Mans accueillait les Jeux Olympiques tous les 26 ans !